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Channel: Aquarelliste et peintre voyageur
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Princesse Bixia Yuanjin

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Avec la Princesse Bixia Yuanjin, nous entrons dans le monde merveilleux des divinités taoïstes profondément ancrées dans la mythologie chinoise, et toujours très vénérées.
Je voulais vous «offrir» la visualisation de cette peinture comme promesse et évocation de la vie en ce dernier jour de l’année, car si elle efface du passé tout ce qu’il peut nous transmettre de souffrance ou de maladie, son regard est tourné vers l’avenir, puisque, outre le fait de guérir, elle nous apporte de nombreuses promesses de fécondité.
Protectrice des femmes et des enfants, la Princesse des Nuages bigarrés (c’est aussi son nom), est assise sur un trône en fleur de lotus, et porte dans ses bras un enfant.
Coiffée de trois oiseaux aux ailes déployées, annonciatrice d’aube et de naissance, elle est légère comme l’air, entourée de nuages elle survole les lacs emportée par le vent, et dispense la pluie synonyme aussi de fécondité…    

Princesse Bixia Yuanjin

"Princesse Bixia Yuanjin" Acrylique et huile sur toile 81 x 65 cm
au milieu de ses nuages dorés.

Comme pour «Le territoire du Karst», si vous regardez intensément cette toile, vous aurez du mal à vous en détacher.
Plus que toute autre, cette déesse a un pouvoir bénéfique dont j’ai essayé de traduire le «magnétisme» à travers le regard de la princesse (ci-dessous), dont la partie gauche du visage, apparaissant derrière les nuages dorés, regarde l’avenir avec douceur et sérénité.
Le moins que je vous souhaite pour 2014 c’est qu’elle puisse vous protéger, et je vous dirai demain où se trouvent toutes ces toiles (et quelques autres qui ont eu la chance de les accompagner)… 

Princesse Bixia Yuanjin B

"Princesse Bixia Yuanjin", détail.


Du musée d’art contemporain de Wuxi à la galerie Jiangsu Phoenix Arts à Pékin

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AFFICHE EXPOSITION WUXI

Du Musée d’Art Contemporain de Wuxi à la galerie Jiangsu Phoenix Arts à Pékin, c’est le chemin parcouru par les dernières toiles que je viens de vous présenter en fin d’année 2013 (et quelques autres peintures de mes grands formats exposés par la mairie de Millau fin 2011), après un accrochage de plusieurs mois à la galerie Phoenix Art Museum of Contemporary Art à Shangaï.
Je vous réservais la nouvelle pour ce premier jour de l’année 2014, car si l’Aven aux Merveilles est pour moi l’aboutissement carnettiste de l’an passé, le stage carnet de voyage au Rajasthan celui des stages lointains pour l’année qui vient de s’écouler, la présentation de mon travail pictural dans quelques lieux d’exposition prestigieux en Chine, marque quant à elle ma transition picturale entre 2013 et 2014, année que j’ai placée sous le signe du «merveilleux»...

MUSEE D'ART CONTEMPORAIN DE WUXILe musée d’art contemporain de Wuxi où mes toiles ont été exposées en juin et juillet dernier, avant de partir pour Shanghai, puis Pékin.
Il serait trop long de raconter ici en détail cette dernière «aventure picturale», mais je peux au moins vous en faire partager quelques images, prises au début de l’exposition.

MUSEE Art Phenix de Wuxi

Quelques salles du musée d’art contemporain de Wuxi

Nous ne sommes qu’une poignée d’artistes français d’origine tarnaise (je suis né dans le Tarn, la «patrie» de Toulouse-Lautrec), sélectionnés pour représenter les courants «naturalistes» contemporains (compris ici comme «en rapport avec la nature») de l'Hexagone qui identifient leur région, avec les préceptes hérités des grands maître de l’art moderne, je cite ici la préface du catalogue des expositions :
«Ces artistes sont les enfants spirituels des premiers peintres modernes français, par leur pratique, leurs œuvres, leurs couleurs, ils continuent à définir un pays.
Les artistes de cette exposition viennent du Tarn, dans le sud-ouest de la France, région sèche et chaude, région de contrastes, région du peintre Toulouse-Lautrec, artiste important du post-impressionnisme avec Cézanne, Van Gogh.
On retrouve ainsi dans leurs oeuvres, l'influence de leurs aînés…
Primitivisme malicieux et matières anachroniques pour Alain Marc, qui nous renvoi a l'art pariétal de sa région natale…»

PEINTURES ALAINUne partie de la salle qui m’était consacrée (au premier plan à gauche, l’une des toiles de l’exposition de Millau 2011)

SHANGHAI 3

Visiteurs devant mon «Cheval magdalénien»

Les chinois disent :

« Cette exposition est comme un passage de témoin, passage de la France a la Chine, passage du centre de l'art du siècle passé a celui de notre époque...
Après la France, la Chine est aujourd'hui en train de devenir l'un des lieux les plus excitants de notre planète pour voir et créer de l'art.
Il est naturel qu'un hommage au passé soit rendu, pour mieux construire le futur… »

Extrait de presse (médias de Wuxi) : «Phoenix Art a invité neuf artistes français à Wuxi, en Chine, pour assister à la cérémonie d'ouverture, découvrir les paysages chinois, et s’imprégner de notre culture. Suivront des séminaires universitaires et salons artistiques VIP pour ces artistes en interaction créative entre la Chine et la France…»

INAUGURATION 14

Toute l’équipe des peintres sélectionnés (sauf moi-même, qui devais assurer ma présence au stage d’aquarelle en Bretagne, mais j'étais représenté par notre agent d'art, …après cela, qu’on ne me dise pas que je ne fais pas de gros sacrifices pour mes stagiaires !), avec le « staff » français et les sponsors chinois, sur le parvis du musée.

Je précise que tous les frais liés à ces expositions (frais administratifs, préparation / acheminement, envoi des oeuvres, coûts annexes, etc.), ont été pris en charge par nos sponsors chinois, et que tous les artistes ont été invités en Chine une semaine entière tous frais payés A-R (depuis leurs ateliers) par les organisateurs de l’exposition (ceux-là, au moins, sont de vrais mécènes, une valeur qui se perd sous nos cieux aujourd’hui !), avec, aux dires de mes confrères, un accueil exceptionnel qui leur fut réservé (mais pas pour moi puisque je suis resté en France pour tenir mes engagements, afin d'animer un stage programmé bien avant les dates définitives de cette exposition).
Quand je pense qu’ici chez nous, rares sont les organismes qui s’intéressent à mon travail, pour lequel je dois généralement payer si je veux l’exposer (dans quelque salon ou exposition que ce soit, raison pour laquelle j'ai décidé de ne plus exposer que très rarement) !
Il est encore heureux, que ma peinture soit appréciée par quelques collectionneurs (grâce auxquels j’existe réellement par la valeur marchande de mon art, je les en remercie), mais qui ont bien du mal à voir mon travail pictural et à le trouver…

Voilà la dernière «aventure picturale» de l’année 2013 et la première de 2014  que je voulais partager avec vous (par toiles interposées).

Alors, ce que je vous souhaite si vous avez des projets pour cette nouvelle année, c’est qu’ils se réalisent et puissent porter jusqu’au bout du monde votre pensée, quoi qu'il advienne, si vous-mêmes ne pouviez y aller.

Très bonne année 2014 !

Joyeuses fêtes de fin d'année !

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En cette fin d'année, juste avant que ne se termine le jour de Noël, je voulais, puisque la neige est de retour dans tous nos massifs montagneux, vous souhaiter de très belles fêtes dans une atmosphère de beauté simple, paisible et douce, inspirée par les paysages de l'Aubrac rouergat, par des images empruntées à mes photos et aquarelles extraites de L'Aven aux Merveilles, et à de petits exercices réalisés sur le motif pendant les stages "Aquarelle de neige et ambiances hivernales" qui ont lieu chaque année début mars en Jura Oriental, dans la jolie maison d'hôtes de Christiane Colin (il y reste d'ailleurs encore des places, si vous voulez en profiter il est toujours temps de vous y inscrire)...

L'occasion aussi, de vous dire que je n'oublie pas toutes celles et ceux qui attendent des précisions pour les stages aquarelle et carnets de voyages 2014 : je suis tout simplement un peu plus débordé que d'habitude, mais j'espère bien que cela ira mieux en début d'année prochaine.

En attendant, je vous dis "à très bientôt", car j'ai encore une belle aventure à vous faire partager d'ici le jour de l'an !

Un livre singulier : L’Aven aux Merveilles !

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L’Aven aux Merveilles, une histoire extraordinaire, que je partage avec vous !

 

Avant tout, découvrez dans la vidéo ci-dessus, ma présentation de l'ouvrage, qui reprend où nous l’avions laissée dans la précédente publication, l’histoire des origines du livre : j’y apprenais alors une incroyable nouvelle dans un journal local...

Outre cette histoire, vous aborderez dans ce clip le contenu du livre, y verrez une sélection de pages et y entendrez des extraits de textes inédits.
Mais vous allez surtout pouvoir à travers L’Aven aux Merveilles, vous approprier la plus intense des émotions artistiques qu’il m’ait été donné de vivre !
En observant ses croquis, dessins, aquarelles, notes de terrains et nuanciers, vous entrerez dans un univers nouveau, au cœur d’une région magique.
Vous partagerez des souvenirs et des secrets qui deviendront peut-être un jour des légendes, vous tomberez sur des trésors…
Ces trésors vous étonneront à travers les personnages dont j’ai fait le portrait, à travers gorges, ravins et grands causses, où je me suis attaché à traduire la singularité des paysages et des rencontres, la richesse de la flore et de la faune qui en font la singularité.
Ils vous fascineront particulièrement à travers les explorations que je vous fais partager au fond d’un gouffre mythique : celui de l’Aven Noir aux confins des Cévennes et des Grands Causses.
Vous lirez certainement ce livre comme s’il s’agissait d’un roman, vous regarderez ses dessins et aquarelles comme s’ils étaient ramenés d’un autre monde.
Pourtant c’est une histoire vraie que je raconte.
Une aventure qui aurait pu être la vôtre, où vous auriez vécu les mêmes difficultés, réussites et joies que les miennes en réalisant les croquis et peintures qui illustrent mon récit.
Vous auriez aussi inventé comme j’ai dû le faire, des techniques particulières pour peindre ce qui était impossible à traduire avec les procédés habituels de l’aquarelle…
Vous comprendrez alors facilement comment de telles merveilles m’ont amené à réaliser quelque chose de très différent de ce qui est déjà fait dans le domaine du carnet de voyage ou d’exploration, et pourquoi un tel travail n’avait jamais été entrepris sous cette forme-là en milieu souterrain, sans le dissocier de la vie qui se déroule en surface au même moment.
Pour la réalisation de cet ouvrage, j’ai été soutenu par la Ville de Nant, son Office du Tourisme, l’Association des propriétaires des réseaux de l’Aven Noir, collectivités et nombre de personnes qui m’ont encouragé dès le départ, et que je tiens à remercier très sincèrement, à commencer par le spéléologue et explorateur Roland PÉLISSIER, inventeur des nouveaux réseaux de l’Aven Noir qui m’a accepté parmi ses équipiers.
Sachez que cet ouvrage n’a été réalisé pour son premier tirage qu’à 1000 exemplaires seulement, ce qui en valorise encore plus l’édition.

En voici enfin les caractéristiques techniques :
 
Titre : L’Aven aux Merveilles, carnet d’exploration de l’Aven Noir,
Grands Causses – Cévennes, Aveyron – Gard
Auteur : Alain MARC
Éditions Carnets Choisis
ISBN 978-2-9546036-0-5 - 3ème trimestre 2013
Format A4 à l’Italienne,
Poids 1330 gr
320 pages 130 gr couché ½ mat,
Couverture souple 350 gr pelliculage brillant,
Dos carré cousu collé
Prix 32 €  (hors frais d'envoi éventuels)

Si ce livre vous tente, si vous êtes en quête d’un cadeau original pour Noël, en voici dès à présent les principaux points de vente :
            Éditions Carnets Choisis (version dédicacée uniquement, demander le bon de commande) :  adresse e-mail en cliquant  ici

Librairies :
  
      À Nant (12) : Librairie Saquet,
                           Office du Tourisme,
          À Meyrueis (48) : Librairie Tabac - Presse Maison Rallier
      À Saint-Affrique (12) : Librairie Bastide,
      À Millau (12) : Librairie Caumes des livres,
                                                 Librairie Syllabes
                                                 Librairie  Plume (s)
      À Rodez (12) : Maison du Livre,
                         Centre Culturel Leclerc (Centre commercial d’Onet le Château)
      À Toulouse (31) : Librairie Ombres Blanches
          À  Montpellier : Librairie Sauramps

Vente en ligne : www.librairiespeleo.be
                       et www.aquarelleetpinceaux.com

Si vous commandez directement «L’Aven aux Merveilles» aux Éditions Carnets Choisis en  cliquant ici (et en demandant qu’on vous adresse le bon de commande) j’aurai le plaisir de vous offrir 6 marque-pages reproduisant des extraits des aquarelles et lavis du livre, que vous pourrez imprimer sans bordure au format A4 sur du papier photo satiné épais (235 gr ou plus), avant de les découper et de les utiliser ou de les offrir, après en avoir reçu le fichier PDF haute définition que je vous enverrai au retour de vos bons de commande (dans l’ordre de traitement du courrier, car je suis …un peu débordé en ce moment par les demandes de mes amis [es] stagiaires et clients peinture informés [es] les premiers de la disponibilité du livre !).

 

Les ArtsMusants sont… à la Rue, à la Ferme de Corcelle !

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J'ai aujourd'hui le plaisir de vous communiquer la très prochaine exposition qui se déroulera à la Ferme de Corcelle, chez mon amie Arlette PASCAL, plasticienne, aquarelliste, sympathique camarade stagiaire et carnettiste, mais surtout dynamique animatrice et talentueuse pédagogue de ce bel atelier bourguignon.

1 expo

Je lui laisse la parole :

"Après l’exposition "papiers bavards" en 2012, le groupe a exploré le thème de la rue.  Ce lieu de passage que nous empruntons souvent distraits ou tendus vers un but nous a semblé un espace propice à voir différemment, à observer le quotidien qu’on ne voit plus, à transformer le banal en insolite.

Travail individuel ou collectif, les approches ont été multiples :

La rue lieu de circulation, d’échange, de mouvement 

Tout ce qui constitue une rue (mais qu’est ce que c’est déjà ?), les matériaux urbains

La rue et ses travaux

La rue et ses passants, les foules, les évènements

La perspective, la diversité des rues, la signalisation, notre rue

La poésie des regards de chaussée (plaques d’égouts)

Le rythme graphique des fenêtres

Les graffitis, les traces diverses, la grisaille voire les dégradations….

Peut être a-t-on délibérément oublié les voitures pour ne s’attacher qu’au lieu, espace de traversée que l’on peut consommer différemment, avec un autre regard.

On prend une rue ou on l’emprunte, on la coupe ou on la traverse, on s’y rend, on la monte, on la descend. On y reste que si l’on y vit. Nous avons seulement voulu nous y arrêter un peu, le temps de collecter des sensations et des émotions.

Pour cette exposition, les Arts Musants ont invité Chahub, artiste plasticienne à se joindre au groupe ses "rues au fil des cartes" apportent  un autre regard sur l’espace urbain et ses circulations."


Alors, si vous passez par la Saône et Loire début mars, ou vivez dans cette région, ne ratez surtout pas l'exposition "Les ArtsMusants sont… à la Rue", et si vous rencontrez Arlette, transmettez-lui toutes mes amitiés !

Ateliers de La Ferme de Corcelle

7 rue du Pont

71880 Châtenoy le Royal

ateliers.ferme.corcelle@orange.fr

www.ferme-de-corcelle.over-blog.fr

STAGES AQUARELLE ET CARNETS DE VOYAGES ALAIN MARC 2014

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Cette année, j'ai voulu que la présentation de mon programme de stages aquarelle et carnets de voyages 2014, soit déjà un voyage en elle-même. Mieux que tout autre discours, j'espère qu'elle vous emmènera dans une parenthèse d'évasion et de ravissement qui vous fera oublier quelques instants votre quotidien, même si vous ne rejoignez pas l'une de mes sessions.

Mais si le coeur vous en dit, voyager en réalisant croquis et aquarelles des plus beaux paysages, de rencontres hors du commun, des meilleurs moments de son parcours, est l'un des plus grands bonheurs que je puisse partager avec vous.

C'est à l'apprentissage et au perfectionnement in situe de ce privilège que je vous invite à travers mes stages, où vous allez pouvoir à votre tour découvrir ou approfondir tous les secrets, qui changeront votre regard sur le monde.   

Pour les renseignements détaillés (fiches techniques, prix, conditions, places disponibles, etc.), écrivez à Alain MARC en cliquant ICI


C'est d'ailleurs dans un voyage singulier que je vous emmène à travers cette vidéo, pour vous présenter ce programme de stages. Pourtant, je n'ai pas été très loin pour voir les choses différemment : comme quoi, il suffit simplement de s'en donner les moyens, pour mieux saisir la beauté des êtres et des choses, et les traduire avec originalité et caractère !

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   Ambiances et paysages de neige

du 2 au 8 mars 2014

(un clic sur l'aquarelle ouvre une fenêtre annexe se rapportant à un article consacré à ce stage)  

Théverot & Brévine mars 2013

AQUARELLE appliquée aux carnets de voyages : Voici l'un des plus intéressants thèmes abordé en 2014, comment traiter paysages et ambiances de neige en atelier et sur le motif, au coeur du plus beau domaine de ski nordique de l'Hexagone en Jura Oriental, pays où l'hiver a fait de toute une région l'histoire d'une légende : elle devient féérique lorsque forêts de sapins, maisons de montagne et clochers à bulbe sont habillés de blanc ... Réservez votre stage 2014 dès à présent, il reste encore 2 ou 3 places dans ce stage !

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    Carnet de voyage découverte "PISTES DU GRAND SUD" 

MAROC du 23 au 30 avril 2014

(un clic sur l'aquarelle ouvre une fenêtre annexe se rapportant à un article consacré à ce stage)

maroc

CARNET DE VOYAGE : Stage  "niveau 2 et 3" des stages carnets de voyages A. MARC.

Superbe circuit en 4x4 au départ de Marrakech jusqu'aux immensités de l'erg Lihoudi bien au sud de Zagora, pour les amoureux d'un Maroc hors des sentiers battus, magnifique stage en pays berbère pour découvrir les émotions des grands peintres voyageurs, et ramener un carnet marqué de l’empreinte d’un univers époustouflant, composé de rencontres, de découvertes et de paysages superbes, une mémoire peuplée d’images multicolores, de parfums innombrables, de sonorités inoubliables...

Accompagnants (es) acceptés (es) réservez vite, il reste encore 2 ou 3 places dans ce stage !   

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  Lumières de Provence

du 4 au 10 mai 2014

(un clic sur l'aquarelle ouvre une fenêtre annexe se rapportant à un article consacré à ce stage)  Carte2111

AQUARELLE appliquée aux carnets de voyages : depuis un ancien domaine provençal situé près de Salon vous serez accueilli (e) pour ce stage au coeur de la Provence éternelle d'où vous rayonnerez d’Alpilles en Lubéron, vers quelques-unes des plus belles sources d'inspiration des grands maîtres de la lumière méditerranéenne.

Vous cheminerez sur leurs traces, et en retrouvant leurs thèmes préférés, ramènerez de cette semaine  des  aquarelles et pages de carnet aux couleurs des fleurs de la garrigue  au printemps.  

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  Stage carnet de voyage aquarelle

"TRÉSORS ANDINS et AMAZONIE"

PÉROU du 30 mai au 14 juin 2014 

Pérou 1

 Carnet de voyage au Pérou :  accompagnants (es) acceptés (es) , peu de places disponibles dans ce stage, conditions "niveau 3" des stages carnets de voyages A. MARC indispensable (autonomie en aquarelle et croquis rapide nécessaire, expérience préalable des carnets de voyages souhaitée), ce voyage s'inscrit dans le cycle des carnets de voyages lointains A. MARC, ce sera l'un des plus beaux stages de l'année, et après le succès de ceux d'Asie et d'Afrique, le premier en Amérique du Sud ! 

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MARINES ET PAYSAGE BRETON

du 30 juin au 4 juillet 2014

 (un clic sur l'aquarelle ouvre une fenêtre annexe se rapportant à un article consacré à ce stage)  

Ploumanach, le moulin à maréee - 3AQUARELLE appliquée au CARNET DE VOYAGE : Comment réussir vos motifs portuaires, bords de mer, bateaux, rivages, reflets, eau, vagues, rochers dans l’un des plus beaux paysages bretons...

Une session qui vous permettra de réaliser quelques-uns des plus passionnants sujets de bords de mer, stage à la thématique incontournable, faisant partie des «grands classiques» de l’aquarelle et des carnets de voyages dans l’Hexagone .

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  Stage "Donnez du punch à vos croquis et aquarelles pour vos carnet de voyage"

Jura Oriental du 27 Juillet au 2 août 2014

(un clic sur l'aquarelle ouvre une fenêtre annexe se rapportant à un article consacré à ce stage)  

Carte2030

Pratique de l'aquarelle dynamique en CARNET DE VOYAGE :

-  Comment concevoir un carnet de voyage unique, original et singulier, en privilégiant dessins et aquarelles à la réalisation rapide et efficace, en atelier et extérieur, avec révision des bases de l'aquarelle appliquées au carnet de voyage, adaptation au carnet du croquis sur le motif (personnages, animaux, etc.), et apprentissage de l'expression rapide, qui apportent d'immenses joies.

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Aquarelle en Jura Oriental

du 20 au 26 Juillet  et du

3 au 9 août 2014
(un clic sur l'aquarelle ouvre une fenêtre annexe se rapportant à un article consacré à ce stage)  

Carte3184

AQUARELLE "classique" appliquée au CARNET DE VOYAGE : deux sessions, pour ce stage pittoresque, motivant et efficace, où le lieu d'accueil reste l'un des endroits privilégiés parmi tous les lieux de séjours, car très agréable et pratique, pour profiter, quelle que soit la météo (en atelier et sur le motif), d'un apprentissage et d'un perfectionnement en douceur loin des foules estivales, dans les bucoliques et verdoyants paysages du Jura Oriental . 

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  Projets 2015 : Plusieurs stages spécifiques aux carnets de voyages où nous irons à la rencontre de peuples authentiques, et de lieux hors du commun sont en préparation pour 2015.

Les dates, destinations définitives, tarifs de voyages sont en cours d’étude, en redemander les détails ultérieurement, inscription possible par liste prioritaire de demande d'informations comme ce fut le cas du voyage au Rajasthan 2013 ou de celui du Pérou 2014.

Aquarelle hivernale en Jura Oriental

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Aquarelle hivernale en Jura Oriental

Le croquis - aquarelle que voici, est l’exemple même de ce que j’aime réaliser sur le motif sans me casser la tête, avec rapidité et enthousiasme, dans la fulgurance de l’instant.
Sans me casser la tête, avec quelques coups de crayon et un peu d’aquarelle. Le bonheur de peindre en connivence avec la réalité vécue dans l’instant présent serait-il là ?
Capital, ce type d’aquarelle : il contient tout ce qu’il faut savoir pour pratiquer l’aquarelle de terrain dans n’importe quelles autres conditions !
Car tout vient du blanc et de son rôle par rapport au graphisme et aux couleurs, de l’usage de l’eau sur le papier en véhicule de ces couleurs, et du jeu des différents éléments, qui, à la différence de leur usage en atelier, vont être ici employés de façon différente.
Si vous voulez me rejoindre dans les jours qui viennent (quelques jours à peine) pour découvrir et partager avec moi ce type d’aquarelle, c’est le moment idéal (demandez-moi vite les conditions pour y participer en cliquant ici), car il reste encore quelques place dans le très prochain stage des ambiances de neige en Jura Oriental !
Si cette aventure vous tente mais que vous n’osiez pas franchir le pas, je vous invite à visionner la vidéo de fin d’article, car ce sont les conditions d'environnement et de séjour des sessions d'aquarelle hivernale que je vous fais aujourd’hui découvrir, elles sont très importantes pour la réussite de votre session.
Pour tout le reste, c'est sur le terrain qu'il faut venir, car aucune "démo" vidéo la plus savante soit-elle, ne vaudra jamais une séance d'aquarelle sur le motif, plus encore si elle est guidée par une expérience et une doctrine qui sont le fruit d'une vie.
En immersion totale avec l’environnement dans lequel on est plongé, sans s’attarder avec des fioritures qui n’apportent rien.
Car si on veut retirer l’essentiel de ce qu’on perçoit, de ce qui nous imprègne, de ce qui nous touche, on doit être plus que « simple spectateur jouissant d’un spectacle » (ce qui est déjà très bien pour entrer en connivence avec les êtres et les choses), on doit rechercher le plus de complicité possible avec notre sujet, percevoir sa réalité non seulement visuelle, mais aussi culturelle, géographique, historique, naturelle, humaine, afin de ne pas le trahir quelle que soit notre expression personnelle et ses libertés.
Car dans « essentiel » il y a « essence ».
Le concept d'essence (
du latin essentia, du verbe esse, être) désigne en métaphysique une distinction de l'être . Il désigne « ce que la chose est », par opposition au concept d'existence qui lui définit "l'acte d'exister"…
Nous entrons là dans un domaine très complexe de définitions et de concepts qui relèvent plus de la philosophie et d’autres domaines de pensée que de peinture (…bien que), mais quand on voit ce qu’on peut produire d’admirable en atelier, dans des conditions « idéales » en prenant tout son temps (même si ce temps est relatif pour les phases d’exécution où doit être extrêmement rapide), on constate que pour bien des gens, la « véritable aquarelle », celle qui est considérée comme création artistique à part entière, est celle-là qui ne se fait pas forcément sur le terrain.
Cette aquarelle-là (qui ne démérite en rien), je l’ai pratiquée des décennies, elle m’a apporté de nombreuses joies certes, des diplômes, des médailles, des prix…
Mais qu’est-elle à côté de ce que j’éprouve aujourd’hui sur le motif ?
C’est lorsque j’ai réalisé cette différence (ce gouffre même), et pris conscience de la valeur de ces petites choses qui peuvent révéler l’essentiel à partir de trois fois rien, que j’ai mis de côté « l’aquarelle d’atelier » pour n’y revenir qu’accessoirement car ce qu’elle apporte est à mon avis bien moindre.
Je développerai plus tard ce qui à mes yeux fait la supériorité de l’aquarelle de terrain.
Pour l’instant ce qui m’importe c’est de revenir aux sources de l'aquarelle de voyage, avec simplicité et efficacité.
Avoir en extérieur un outil de travail qui apporte une vraie joie de s'exprimer, loin des complications, des ambitions, et d’une forme de snobisme de certains ateliers, tel est mon grand bonheur, mon plus cher accomplissement.

Transmettre et partager cet outil de travail, ce moyen d’expression, est ma vocation : si vous voulez le découvrir aussi et rejoindre notre tout petit groupe (car dans les stages d’ambiances de neige, c’est presque du cours particulier pour les participants), écrivez-moi vite en cliquant ici.
La prochaine fois, je vous parlerai du stage carnet de voyage dans le Grand Sud Marocain avec une « démo » qui a déjà été visionnée plus de 100 000 fois à travers les différentes plateformes du Web !

 

Retour sur la leçon d'aquarelle à l'oasis de Fint

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Je ne peux pas résister au plaisir de vous faire revoir cette "démo" d'aquarelle que j'avais publiée en janvier 2008 (voir l'article que je lui avais déjà consacré en cliquant ici) : elle a été déjà vue plus de 100000 fois toutes plateformes confondues (31 146 vues rien que sur Youtube), et très nombreux sont les sites et blogs qui s'en sont fait le relais de par le monde, des USA au Japon...

Certains vont même jusqu'à faire payer pour la voir ce qui est tout à fait illégal (je m'occuperai de leur "cas" plus tard) !

Leçon d'aquarelle à l'oasis de Fint par Alain MARC from Frenchwatercolorist on Vimeo.

Si je vous la fais redécouvrir aujourd'hui, c'est que nous repasserons par l'oasis de Fint, non loin de Ouarzazate au Maroc le 27 avril prochain excatement, en remontant de l'erg Chegaga et du lac Iriqui, pendant le stage carnet de voyage - aquarelle 2014 "Expédition Aquarelle / Carnet de voyage sur les pistes du Grand Sud en 4x4".

Je ne reviens pas aujourd'hui sur ce très beau stage, [où il reste tout juste d'ailleurs une seule place à prendre, si vous avez le niveau, le goût de l'aventure et de la découverte et voulez venir, vous êtes la ou le bienvenu (e), il vous suffit de m'en demander les informations en cliquant ici et de prendre vite votre billet d'avion], nous y reviendrons plus tard car il est entièrement renouvelé par rapport aux premiers trajets hors des sentiers battus qui nous ont emmenés dans cette fabuleuse région.

Par contre, je vous redonne aujourd'hui avec joie les fiches techniques accompagnant cette "démo" carnettiste : cette aquarelle a été réalisée en 16 / 17 mn environ, (la vidéo a été montée en léger accéléré) . Les couleurs sont réduites au minimum :

2 jaunes : auréoline et jaune de Naples

2 rouges : de cadmium et alizarine cramoisie

1 bleu : outremer

2 verts : or vert WN et émeraude (pas de chez WN) ou vert Winsor (WN)

Enfin 1 terre d’ombre brûlée (tronc des palmiers et mélanges rompus divers pour assombrir - par exemple ombres grises ou brunes -)

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Le croquis aquarellé de la vidéo dont les traits de crayons sont plus visibles en réalité qu’ici à l’écran . (Photo Alain MARC )

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Principales couleurs utilisées et leurs mélanges (tout ce qui est gris ou gris-brun se fait par mélange de ces teintes avec la terre d’ombre brûlée - petit âne, ombres personnages et des buissons au sol, etc. - )

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De retour avec de nouveaux moyens…

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Vous le voyez, je suis sobre en billets ces temps-ci, préférant vous garder de temps en temps quelques bonnes surprises !

Pourtant, vous saviez que je ne vous oubliais pas, et chaque fois que vous êtes restés longtemps sans nouvelles, vous avez généralement eu à mon retour le partage de mes découvertes, ou au moins, d’une grande part de tout ce que je réalisais pendant mon absence d’Internet.

Cette fois, j’ai à vous annoncer de nombreuses choses susceptibles de vous intéresser (de vous captiver même j‘espère) que vous fassiez peu ou prou un peu d’aquarelle de terrain, du carnet de voyage, du dessin ou pratiquiez tout simplement d’autres techniques ou modes d’expression.

Dans cette parenthèse (avec beaucoup de temps d’action comme d‘habitude), j’ai essayé de prendre du recul par rapport au hourvari qui gangrène le monde dans lequel nous vivons (dans la ferme détermination de tout reconsidérer), et vous verrez que j’ai trouvé de nouveaux espaces de liberté, des approches de pensée inusitées et méthodes d’expression qui valent le détour, même si pour certaines (et cela en explique le peu d’usage) tout le monde ne peut facilement y accéder.

Mais ce sera dans un prochain article que je vais vous donner une petite idée de ce que je vous ai préparé pour les semaines à venir : vous verrez que si tout le monde ne peut accéder à certaines des formes de beauté et d’aventure dont je vous reparlerai, je suis prêt à vous en faire partager (au moins par ce blog), ce qui en représente pour moi l’incomparable exaltation.

Pour commencer, comme tout peintre qui veut développer de nouveaux projets, il fallait que je revois une grande partie des moyens que j’avais à ma disposition, ceux même qui m’ont déjà permis de jolies réalisations mais avec lesquels je ne pouvais aller guère plus loin, car quoi que l’on fasse, quand on veut accéder au plus près de ses rêves il faut se donner les moyens d’y parvenir !

Pour évoquer le premier d’entre eux (un outil de base qui n’est pas des moindres lorsqu’on peint sur le motif dans des endroits très éloignés les uns des autres), je vous pose deux questions :

1) - quel point commun croyez-vous qu’il y ait entre ces différents croquis, ou pochades à l’aquarelle réalisés à plusieurs années d’intervalle et dans des endroits parfois éloignés de plusieurs milliers de kilomètres ?

Hiver en Aubrac (France - février 2006) aquarelle Alain MARC

Hiver en Aubrac (France - février 2006) aquarelle Alain MARC

Hiver en Aubrac (France - février 2006)

Plage au Cabo de Gata (Espagne - novembre 2010) aquarelle Alain MARC

Plage au Cabo de Gata (Espagne - novembre 2010) aquarelle Alain MARC

Plage au Cabo de Gata (Espagne - novembre 2010)

Face sud des Grandes Jorasses (Val d’Aoste - Italie juillet 2011) aquarelle Alain MARC

Face sud des Grandes Jorasses (Val d’Aoste - Italie juillet 2011) aquarelle Alain MARC

Face sud des Grandes Jorasses (Val d’Aoste - Italie juillet 2011)

Berger (Cévennes - France juin 2010) aquarelle Alain MARC

Berger (Cévennes - France juin 2010) aquarelle Alain MARC

Berger (Cévennes - France juin 2010)

 

Deux maisons à Ploumanac’h (Bretagne - France juin 2011) aquarelle Alain MARC

Deux maisons à Ploumanac’h (Bretagne - France juin 2011) aquarelle Alain MARC

Deux maisons à Ploumanac’h (Bretagne - France juin 2011)

Château de la Calahorra à Contre-jour (Sierra Nevada - Andalousie - Espagne octobre 2006) aquarelle Alain MARC

Château de la Calahorra à Contre-jour (Sierra Nevada - Andalousie - Espagne octobre 2006) aquarelle Alain MARC

Château de la Calahorra à Contre-jour (Sierra Nevada - Andalousie - Espagne octobre 2006)

Ruines troglodytiques dans les Gorges du Tarn (Grands Causses - juillet 2008) aquarelle Alain MARC

Ruines troglodytiques dans les Gorges du Tarn (Grands Causses - juillet 2008) aquarelle Alain MARC

Réponse :

Le point commun qui m’a permis de réaliser ces croquis et aquarelles (pris au hasard parmi des centaines d’autres faits à travers une grande partie de l’Europe), c’est un outil indispensable pour moi à cause de son autonomie, sa polyvalence et sa fonctionnalité : mon van, qui sans être un tout terrain m’a permis d’aller dans des endroits invraisemblables par tous les temps, à toute heure du jour et de la nuit, me servant d’atelier quand il pleuvait et de maison d’appoint dans sa version amovible camping-car (sans subir les contraintes d’un véhicule de ce genre, car facile à garer dans les parkings souterrains aussi bien que discret en pleine nature), me servant de fourgonnette pour transporter mes toiles lors des expositions en France ou à l’étranger, et de nombreux autres usages dont celui de minibus, sa véritable vocation…

De retour avec de nouveaux moyens…

Le voici, traversant le désert d’Almeria avec une étonnante facilité, passant par des chemins où seuls les tracteurs et les 4 x 4 passaient (grâce à sa haute garde au sol et à la puissance de sa motorisation), impressionnant de robustesse et de technicité… 

De retour avec de nouveaux moyens…

Ou ici, toujours au sud de l’Espagne, sur des falaises proches d’Almeria…

Et maintenant, la même question :

- quel point commun entre ces quelques photos ?

Stage aquarelle Alain MARC  « Hautes vallées de l’Alpe » (Valais - Suisse août 2004)

Stage aquarelle Alain MARC « Hautes vallées de l’Alpe » (Valais - Suisse août 2004)

Stage aquarelle « Hautes vallées de l’Alpe » (Valais - Suisse août 2004)

Stage carnet de voyage Alain MARC  « De Collioure à Cadaquès » (Port LLegat - Espagne septembre 2010)

Stage carnet de voyage Alain MARC « De Collioure à Cadaquès » (Port LLegat - Espagne septembre 2010)

Stage carnet de voyage « De Collioure à Cadaquès » (Port LLegat - Espagne septembre 2010)

Stage aquarelle Alain MARC « Marines et paysage breton » (Ploumanac’h - Bretagne juin 2006)

Stage aquarelle Alain MARC « Marines et paysage breton » (Ploumanac’h - Bretagne juin 2006)

Stage aquarelle « Marines et paysage breton » (Ploumanac’h - Bretagne juin 2006)

Stage aquarelle Alain MARC « Lumières de Provence » (Provence - mai 2008)

Stage aquarelle Alain MARC « Lumières de Provence » (Provence - mai 2008)

Stage aquarelle « Lumières de Provence » (Provence - mai 2008)

Stage carnet de voyage Alain MARC « Andalousie » (Pedro Abad - Espagne mai 2011)

Stage carnet de voyage Alain MARC « Andalousie » (Pedro Abad - Espagne mai 2011)

Stage carnet de voyage « Andalousie » (Pedro Abad - Espagne mai 2011)

Réponse : le point commun qui m’a permis de me rendre dans des centaines de stages et dépanner beaucoup de mes amis (es) peintres venus sans voiture me rejoindre à travers les 4 coins de France et ailleurs en Europe, c’est justement ce même van, qui se montrait aussi bon véhicule pour les grandes distances que les plus courts trajets.

De retour avec de nouveaux moyens…

Le voici lors d’une séance d’aquarelle dans les alpages du Valais Suisse pendant l’été 2004 : il gravissait allègrement (bien qu’entièrement chargé avec les 8 peintres qui montaient avec moi et tout notre matériel de peinture) les pentes les plus raides jusqu’aux limites des neiges éternelles…  

C’est plus de 9 fois le tour de la terre que j’ai fait avec lui, soit 387 000 km parcourus pendant 10 ans, sans la moindre réparation d’importance (sinon les frais d’entretien habituels de toute automobile) ni le moindre accrochage !

La robustesse de ce véhicule, sa grande économie (il consommait vraiment très peu), sa polyvalence, ses innombrables qualités en avaient fait plus qu’un instrument de travail : un allié dont j’ai toujours pris grand soin ce qui explique sa longévité, un outil de première importance pour tout peintre voyageur qui veut vraiment être libre, efficace et autonome avec le meilleur confort possible en toutes circonstances…

Beaucoup d’entre-vous se souviennent certainement de lui, d’anecdotes de stage, de moments d’échange et de partage sur les trajets, alors je voulais à ma façon lui « rendre hommage » comme s’il s’agissait d’un être vivant, en lui disant aujourd’hui « adieu » avec vous.

À la différence du « petit cheval blanc » de Georges Brassens, mon van a connu de nombreux printemps et n’est pas parti par un éclair blanc, mais avec un passionné qui a mis le prix à son acquisition (et non pour les 100 € que m’en donnaient certains garagistes vu qu’il n’avait plus aucune valeur argus !), avec un aventurier qui va lui offrir une deuxième jeunesse, de nouveaux printemps, et une autre longévité dans un pays africain où un véhicule de ce type est un trésor et non un tas de ferraille destinée à la casse comme on le ferait ici.

Je ne m’en suis pas séparé parce qu’il donnait des signes de faiblesse, mais parce que le van qui le remplace fait partie des moyens que je veux donner à mes nouveaux projets (le précédent vu son grand âge n’aurait certainement pu les accompagner)…

Pour mieux vous servir également si vous montez un jour avec moi : plus confortable, encore plus économique, écologique, plus grand, tout aussi robuste et polyvalent, je vais pouvoir continuer d’emmener mes amis (es) peintres sur les sites avec tous les avantages que l’on puisse attendre aujourd’hui d’un tel véhicule.

Je reviendrai sans doute une autre fois sur son aménagement amovible « atelier - bivouac » car il peut intéresser de nombreux peintres en quête du « véhicule idéal ».

Pour l’instant, à quoi ressemble-t-il ?

Voici donc un premier « bilan » de l’usage de ce nouveau van, avec ces deux photos : 

 

De retour avec de nouveaux moyens…

Premiers tests de maniabilité en accès de mes sites favoris inaccessibles à la plupart des voitures : il sera idéal pour amener au plus près du point de départ de mes marches d’approches picturales « pleine nature » mon atelier itinérant, mais en prenant plus de précautions que le précédent à cause de son gabarit dans les passages délicats et les manœuvres difficiles en terrain accidenté.

Par contre, je découvre avec plaisir qu’il est encore mieux adapté que le précédent aux grandes distances sur autoroute, une qualité indispensable quand on veut travailler loin de chez soi et se déplacer vite sans contraintes particulières de transport.

De retour avec de nouveaux moyens…

Quant à sa robustesse et sa polyvalence elles sont déjà prouvées, même s’il y a quelques jours à peine, le voici arrêté par une congère qu’il ne franchira pas…

De retour avec de nouveaux moyens…

Mais pour son premier voyage au service de ma picturale curiosité, il m’a brillamment emmené jusqu’à ces fumeroles étranges qui préfigurent dans ce paysage lunaire, l’esprit d’aventure et de découverte dans lequel je vais vous entraîner pour les semaines à venir, et que j’évoquerai ici parmi bien d’autres choses prochainement.

 

Réalisation d'une intéressante aquarelle, ...en attendant.

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En attendant de retrouver la motivation pour republier des articles aptes à susciter vos visites, commentaires, et un minimum d'intérêt, je profite du recul que je prends par rapport à pas mal de choses pour jeter un coup d’œil sur la profusion de démos aquarelle de toutes sortes, qui fleurissent sur Internet...
Pas grand chose de vraiment intéressant particulièrement sur le plan pédagogique, si non des banalités que tout le monde ou presque maîtrise à peu près normalement pour peu que l'on se soit mis à l'aquarelle depuis un certain temps.
Je pense personnellement que les personnes aptes à produire de vraies démos à la fois pédagogiques et picturales les gardent pour elles sans les distribuer à "tout va" et elles ont bien raison, car c'est parfois le fruit d'un travail intense, d'un véritable engagement de vie et d'un talent non négligeable qu'elles représentent, et cela a la valeur de ce qu'on ne dilapide pas, n'en déplaise à celles ou ceux qui pensent que l'art est totalement gratuit pour ceux qui en vivent et se battent pour cela !
- D'ailleurs, connaissez-vous quelqu'un (vivant de son travail), qui l'offre à tours de bras, sans aucun échange ni rétribution (si non une gloire plus ou moins imbécile ou une considération de circonstance qui n'est que flatterie de dupe) ?
Revenons en à ma recherche : parmi les vidéos intéressantes (je n'appelle pas cela une "démo" au sens où je l'entends, mais un agréable raccourci sur la façon de travailler d'un bon artiste), j'ai trouvé celle-ci qui nous enseigne cependant un tas de choses sur le savoir-faire de son auteur.
À noter :

a) - Le personnage prévu dans le dessin intial (je pense que c'en est un à droite de la cabane derrière le filet) a été supprimé lors de la réalisation (ce qui n'est pas plus mal), comme quoi on peut commencer avec une intention et finir (volontairement) différemment,

b) - Différents moments "clés" de la réalisation de l'aquarelle ne sont pas montrés (comme la mise en valeur du filet de pêche pour qu'il se détache sur le fond des arbres de la berge et de l'eau), mais sont assez faciles à comprendre,

c) - Vers la fin du travail la gouache blanche est utilisée en recouvrement semi humide pour suggérer la fumée s'échappant de derrière la cabane, comme quoi son usage passe ici très bien même si je suis pour ma part partisan du "tout aquarelle" même pour dégager de la fumée blanche sur fond sombre (il suffisait soit de la réaliser en même temps que les arbres du fond, soit par enlevé en semi humide).
Si cela vous intéresse je mettrai en avant comme cela de temps en temps quelques "démos" que je trouverai un peu plus intéressantes que les autres au cours de mon exploration du Web...

Démonstration aquarelle par Direk Kingnok.

Une superbe et dynamique « démo » d’aquarelle !

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En ce jour anniversaire de mon cinq cent cinquantième article dans ce blog, et pour fêter ce week-end pascal avec vous, j’ai décidé (puisque la précédente vidéo vous avait intéressée) de vous en offrir une belle qui « décoiffe » : la réalisation d’une super aquarelle « géante » par trois compères australiens de grand talent (je m’étais attaqué seul à ce genre d’exercice il y a plus de 15 ans maintenant, je vous en reparlerai un jour, mais je peux vous affirmer que la difficulté commence déjà au moment de tendre le papier).
C’est le genre de travail que j’apprécie beaucoup, dans une approche et un style qui me conviennent parfaitement, qui en apprennent beaucoup sur le savoir-faire, la légèreté, la liberté, la spontanéité que j’aime.
En plus ces trois lascars ont tout pour nous plaire, enjoués et complices, dans une bonne humeur qui fait plaisir à voir, soutenus par un quatrième larron motard et sympathique…
Écoutez bien leurs propos, leurs échanges, leur humour (ils se sont même représentés marchant dans leur superbe aquarelle !).
Regardez bien comment ils travaillent : mis à part la dimension de certains pinceaux et des palettes, notre approche technique est semblable à la leur (mais en bien plus petit, et totalement sur le terrain).
À noter dans mes remarques : ils se libèrent totalement au niveau de l’exécution du modèle photographique que l’un d’eux tient un moment dans ses mains. Observez-le bien, c’est-ce qu’il faut arriver à faire quel que soit son format de travail dès l’instant où on utilise des photos comme source d’inspiration.

Les trois compères sont parmi les plus "grands" de l'aquarelle mondiale, je vous relarlerai d'eux...

Proposition d’une série d’intéressantes leçons d’aquarelle…

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Celle d’aquarellistes talentueux dont certains se sont spécialisés dans des thématiques très personnelles, qui ont une riche personnalité, sont reconnus internationalement, et qui ont bien voulu laisser sur Internet des traces sur leur façon de procéder dans l’exécution de leur travail.
J’ai donc pensé (pour faire suite aux deux précédentes vidéos) qu’il vous serait agréable de voir (et revoir) ces démos triées sur le volet, sachant qu’on n’a pas toujours le temps de chercher soi-même au fin fond des inextricables méandres d’Internet des documents de qualité, où on puisse apprendre beaucoup de choses intéressantes lorsqu’on découvre et pratique l’aquarelle, ou tout simplement lorsqu’on aime cette forme d’expression.
Comme d’habitude, je vous donnerai mon point de vue, ou vous indiquerai ce qui me paraît important dans chaque vidéo proposée.
Aujourd’hui nous découvrons le travail de
Lian Quan Zhen, chinois originaire de la province de Canton, où il exerçait la médecine avant d’émigrer aux USA (où il vit actuellement).
Il s’inspire de documents photos qu’il prend lui-même en général, pour être en atelier « au plus près de son sujet ».
Ce qui est à remarquer dans son travail (outre le mélange des influences orientales - occidentales) est son foisonnement de la couleur qui jaillit en éclaboussures diverses sur ses fonds avant de s’incorporer au motif final par étapes de glacis et du développement logique des différents « états » de son aquarelle (on aime ou pas, mais le résultat mérite attention).
Ce n’est pas un travail très rapide comme celui que je préconise sur le terrain mais une expression de plus lente élaboration en atelier, entrecoupée de temps d’exécution accélérés (assez classique comme démarche somme toute).
À remarquer : l’usage du pulvérisateur d’eau (comme pour la plupart des aquarellistes que nous verrons dans les prochains articles) qui va de pair avec ses projections de pigments au pinceau, versés abondamment sur le papier ou directement soufflés sur les taches liquides, et ses interventions directes au doigt ou de la paume de la main.
Il utilise un produit de masquage (équivalent « Drawingum ») pour ses réserves les plus précises qu’il enlève efficacement au final à l’aide d’un bout d’adhésif), des spalters de toutes tailles (+ tubes couleurs et palette adaptée) et pinceaux fins (parfois à filets) pour peindre sur le dessin du départ qui est assez précis.
À noter : si vous procédez de la même façon pour vos aquarelles, vous pouvez si l’acidité de ses couleurs vous effraie, les choisir selon votre goût personnel et les rompre tout simplement avec une ternaire ou une pointe de leur complémentaire (mettez par exemple un peu de vert dans le rouge, de rouge dans le vert, de violet dans le jaune, ou de bleu dans l’orange), à vos pinceaux maintenant !

La façon de peindre de Lian Quan Zhen.

Pour continuer avec les démos formatives d’aquarelle…

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Joseph Zbukvic, avec ses peintures d’atmosphère où la vie rurale et les scènes urbaines sont empreintes d’une forte intensité vibratoire, est l’un des aquarellistes contemporains australiens que j’aime le plus (allez voir ses aquarelles ici vous m‘en direz des nouvelles !), car sa façon de travailler a une certaine parenté avec celle que nous appliquons sur le terrain lors de nos carnets de voyage.
Au moment où nous sommes totalement immergés dans les splendeurs sud marocaines à l’occasion du stage "Sur les pistes du Grand Sud en 4 x 4" (j’ai programmé cet article pour vous avant de partir), j’ai pensé que vous auriez plaisir à découvrir la façon de travailler de cet artiste incomparable, dans le cadre de ses thèmes de prédilection.
Ici, il choisit une gamme de sujets du quotidien campagnard ou urbain pour réaliser ses aquarelles, prouvant qu’il n’existe pas de sujets inintéressants, et que c’est notre propre regard avant tout qu’il nous faut changer si on veut pouvoir s’émerveiller de tout.
En peignant dans et autour de Melbourne, il capture dans le bruit et la chaleur d'une journée de fin d’été une équipe de la voirie au travail dans la rue, des vendangeurs dans un vignoble, des ouvriers travaillant sur un yacht dans un chantier naval, et des cuisiniers de plein air comme nous en avons rencontré sur la Place Jemaa El Fna à Marrakech en début de stage…

Regardez comment il oppose dans toutes ses aquarelles l'ombre à la lumière en contrastes simultanés de valeurs pour bien mettre ses sujets en évidence, et comment il utilise les couleurs vives pour dynamiser son motif (c'est très différent de Lian Quan Zhen, mais vous voyez qu'on peut avoir en aquarelle des couleurs très sombres ou très vives en contrastes simultanés).
Observez bien sa façon de capter le mouvement de ses personnages, de leur donner vie, d’induire par quelques coups de pinceaux les gestes du quotidien qui suggèrent la vie.
Que pouvons-nous en déduire ?  
- Qu’il faut, si on veut progresser dans ce domaine si important de la présence de personnages pour faire vivre une aquarelle, réaliser énormément de croquis sur le vif, arpenter crayon et carnet de croquis en main les parcs et jardins publics, se mettre devant la télé (chaînes de voyages si cela vous inspire davantage, zapper jusqu’à ce que vous trouviez des personnages qui vous inspirent - mais pas de portraits ni de personnages trop rapprochés pour commencer -), et dessiner, dessiner, dessiner, en faisant des hachures, en abandonnant le sujet s’il s’en va, en ne gommant pas mais en recommençant à côté, et ne vous en faites pas si c’est raté, car il faut rater beaucoup pour commencer à réussir un jour !

 

Intéréssant de suivre Joseph Zbukvic sur le terrain, et de voir combien les jeux de couleurs et de contrastes de valeurs sont importants dans la traduction de sujets comme les siens...

Découverte des procédés d`un grand maître uruguayen de l’aquarelle.

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C’est aujourd’hui le travail d’un artiste que j’aime beaucoup par l’énergie et les effets de lumière se dégageant de ses aquarelles, que je vous propose en analyse : il s’agit d’Alvaro Castagnet, dont vous pouvez consulter la galerie en ligne ici.
Suivons-le dans son savoir-faire à Anvers et à Berlin avec ces deux vidéos fort instructives : préparant son papier sur planchettes de contre-plaqué marine de moyen format en général (de façon assez sommaire mais efficace), il travaille debout sur le motif assez rapidement, se servant d’un tripode où il adapte sa planchette en guise de support, esquissant au préalable un dessin rapide mais bien construit dont il interprètera les personnages (généralement au moment de la pose des grandes masses sombres) de façon très libre et suffisamment fondue dans le reste du motif pour que leur évocation s’arrête à la suggestion.
L’ensemble de ses motifs est régi par la lumière, les contrastes de valeurs (il affectionne les contre-jours), les masses liées aux volumes, la charpente de l’ensemble étant dynamisée par le subtil graphisme de détails en fin d’exécution.
C’est un travail incisif et enlevé comme celui que je vous invite à réaliser sur le terrain en plus petit format, en logistique plus légère encore pour le carnet de voyage.  
À remarquer :
Il utilise une palette de campagne émaillée de taille suffisante pour des mélanges généreux à partir de couleurs en tube, un jeu de pinceaux traditionnels où les «petits gris» tiennent une large place (et un pinceau à filets pour le graphisme fin), ne se sert pas de «Drawingum» ou équivalent (ses réserves étant laissées dès le départ sauf usage parfois de la gouache blanche en ponctuation ou repentirs).
Le récipient qu’il utilise pour l’eau est soit fixé sur son tripode sous son plan de travail, soit carrément posé au sol.
À noter : il ne dédaigne pas l’usage de la gouache dans certains cas si nécessaire (mais plutôt exceptionnellement semble-t-il), à vos pinceaux maintenant !

Alvaro Castagnet à Berlin

Un grand bonjour à toutes et tous, un grand merci...


Un grand bonjour à toutes et tous, un grand merci...

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Un grand bonjour à toutes et tous, un grand merci...

Un grand bonjour à toutes et tous, un grand merci pour vos bons vœux, ils me font très plaisir, je vous renouvelle les miens également !
Vraiment très pris, je n'ai pas assez de temps pour répondre à tous vos messages et e-mails, pardonnez-moi, encore moins le temps de publier quoi que ce soit en ce moment, je vous prépare plein de nouveautés, mais je ne vous oublie pas et vous envoie mes amitiés !

J’ai publié une nouvelle photo sur Facebook...

Retour sur la leçon d'aquarelle à l'oasis de...

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Aquarelles, de pistes présahariennes en sentiers de garrigues.

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Je voudrais vous dire, depuis tous ces endroits qui nous accueillent en plein déroulement de stages, combien le monde et beau, combien est grand le bonheur de le peindre, d’en témoigner, de nous fondre en lui à travers croquis et aquarelles des carnets de voyages…
Car je crois toujours [et plus encore maintenant avec l’expérience des années passées à emmener avec moi amis (es) et stagiaires aux quatre coins du monde ou tout près de chez soi] que c’est un privilège singulier, une chance véritable, que de pouvoir ainsi tout oublier loin des soucis quotidiens et des servitudes de la vie, à s’offrir de telles parenthèses, et puis ensuite, pouvoir les partager avec vous.
Les semaines à parcourir le temps et l’espace des deux côtés de la Méditerranée s’enchaînent vite (trop vite depuis les paysages enneigés du Jura où nous étions il y a si peu de temps encore), mais si elles nous paraissent défiler aussi vite c’est certainement qu’elles ressemblent à un rêve, un rêve éveillé dont je vous relate quelques moments parmi d’autres, que vous vivrez à votre tour à travers nos images et les mots partagés.
Bien sûr, les quelques privilégiés (es) ayant pu avoir une place, ayant réussi à venir, savent bien qu’il est dans chaque session (parce que les souvenirs ne se limitent pas aux aléas possibles du voyage) des beautés qui se méritent, des rencontres d’exception qui valent la peine de l’effort et du recul nécessaire pour bien comprendre ce qu’il doit rester d’important dans une telle aventure.
Je reviendrai vers vous dès que possible pour relater les principaux évènements qui s’accumulent jour après jour en faisant de ces moments des instants magiques, où simple croquis et notes hâtives deviennent "
véritable création" loin des hourvaris du monde citadin et de ses illusions, création de terrain simple et sans artifices, bien plus précieuse à mes yeux que les plaisirs éphémères de sa possible reconnaissance dans une quelconque exposition.
Pour aujourd’hui, je vous livre quelques-unes de nos "traces", relevées par des amis (es) photographes participants (es), que je vous laisse savourer en attendant plus de nouvelles qui vous raconteront comment nous avons fait pour ajouter des pages aux pages, dans la couleur et la lumière qui s’ouvraient sur notre chemin…

Du Haut-Atlas aux confins du désert, c’est un Maroc méconnu et magnifique qui vous attend sur la route des casbahs, en quête d’éternelles et toujours émouvantes scènes orientalistes qui séduisirent tant de peintres voyageurs… Je vous y retrouverai bientôt, en vous faisant partager picturalement notre beau voyage !

Du Haut-Atlas aux confins du désert, c’est un Maroc méconnu et magnifique qui vous attend sur la route des casbahs, en quête d’éternelles et toujours émouvantes scènes orientalistes qui séduisirent tant de peintres voyageurs… Je vous y retrouverai bientôt, en vous faisant partager picturalement notre beau voyage !

Un extrait du travail du premier jour : déjà, les réalisations sur le motif de l’ensemble du groupe sont le reflet d’une réussite née de l’enthousiasme et de l’exaltation des rencontres avec les lieux et les personnages hors du commun que nous allions croiser jusqu’au bout du stage sur notre chemin.

Un extrait du travail du premier jour : déjà, les réalisations sur le motif de l’ensemble du groupe sont le reflet d’une réussite née de l’enthousiasme et de l’exaltation des rencontres avec les lieux et les personnages hors du commun que nous allions croiser jusqu’au bout du stage sur notre chemin.

Là, c’est sur fond de soleil couchant dans l’immensité dunaire du désert, que j’esquisse ce paysage de sable qui allait nous bercer jusqu’au lendemain, de sa nuit somptueuse et étoilée.

Là, c’est sur fond de soleil couchant dans l’immensité dunaire du désert, que j’esquisse ce paysage de sable qui allait nous bercer jusqu’au lendemain, de sa nuit somptueuse et étoilée.

Deux jours plus tôt, dans les ruines saisissantes de la casbah du Glaoui à Telouet, je terminais en vitesse cette page avant de descendre avec tout le groupe, vers la vallée du Draâ.

Deux jours plus tôt, dans les ruines saisissantes de la casbah du Glaoui à Telouet, je terminais en vitesse cette page avant de descendre avec tout le groupe, vers la vallée du Draâ.

Et avant, celle de l’Ounila, de son merveilleux canyon aux argiles rouges à gypse Triassiques, avec ses ruines à ighrems et ksours troglodytiques ressemblant à des « Cliff Palace » saisissants et insolites, perdus bien loin de Mesa Verde et des Amérindiens Anasazis, remplacés ici par des tribus amazigh implantées en ces lieux sans doute bien avant l’avènement des Almoravides…

Et avant, celle de l’Ounila, de son merveilleux canyon aux argiles rouges à gypse Triassiques, avec ses ruines à ighrems et ksours troglodytiques ressemblant à des « Cliff Palace » saisissants et insolites, perdus bien loin de Mesa Verde et des Amérindiens Anasazis, remplacés ici par des tribus amazigh implantées en ces lieux sans doute bien avant l’avènement des Almoravides…

Ambiance totalement différente dans les senteurs de la garrigue : j’aime insuffler ce goût des compréhensions picturales de la lumière au milieu des pins, des oliviers et des genets, sous un soleil tout aussi généreux que celui du Maroc !

Ambiance totalement différente dans les senteurs de la garrigue : j’aime insuffler ce goût des compréhensions picturales de la lumière au milieu des pins, des oliviers et des genets, sous un soleil tout aussi généreux que celui du Maroc !

Oliviers et genets justement : un exercice que chaque participant a réussi !

Oliviers et genets justement : un exercice que chaque participant a réussi !

L'exposition d'Arlette Pascal

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Si vous êtes en Bourgogne du 27 mai au 8 juin prochain, ne ratez pas la belle exposition à Givry d'Arlette PASCAL, qui anime l'Atelier de la Ferme de Courcelle à Châtenoy le Royal !

Arlette est une amie (talentueuse stagiaire lors de notre dernier stage carnet de voyage dans le Grand Sud marocain il y a quelques jours à peine), et c'est un bonheur que de la saluer ici en faisant de ce petit article le relais de son exposition : précipitez-vous-y le moment venu, vous en reviendrez enchanté (e), et aurez en plus du plaisir de rencontrer une surdouée, quelqu'un de très sympathique !

L'exposition d'Arlette Pascal
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