Il existe toutes sortes de carnets, de tous les formats, de toutes natures. Ce qui compte c’est qu’ils soient le reflet de notre regard, de notre perception du
monde. Peu importe leur volume, leur dimension, pourvu qu’ils soient sincères, authentiques, vrais…
La façon de s’exprimer rend alors toute sa valeur, toute son intensité à la beauté de l’instant qui est forcément toujours unique et infiniment précieux, ce que
nous oublions souvent trop vite dans la course du temps qui passe et la banalisation du monde qui nous entoure, surtout si celui-ci nous est familier.
Alors le carnet devient non seulement l’outil idéal (à la portée de tous) pour sauvegarder ces instants, pour les «éterniser», mais aussi pour les prolonger et leur
rendre vie dans notre mémoire chaque fois qu’on en feuillette les pages : le carnet est ainsi une formidable machine à remonter le temps !
Dominique VILLARD nous entraîne aujourd’hui avec cet extrait d’un nouveau carnet «à remonter le temps» dans un quartier attachant de Paris, où son regard nous
dévoile aussi un reflet de son âme.
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